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De son vrai nom Gabrielle Yolande Martine de Polastron, née le 08 Septembre 1749 à Paris et morte le 05 Décembre 1793 à Vienne. Elle épouse le 31 Décembre 1745 à Paris Jules François Armand de polignac et devient Julie de Polignac. Aujourd'hui la famille de Polignac est affiliée à la famille royale de Monaco (rien que ça!). Confidente de la Reine, elle est intrigante et sans scrupules. Lors de la Révolution, elle sera l'une des 1eres à quitter Versailles et à abandonner le couple royal.
Julie de Polignac apparaît dans l'oeuvre de Ryioko Ikeda comme une jeune rossignol qui envoûta par sa simplicité, sa franchise et sa douceur le coeur de la Marie-Antoinette par son chant, telle une sirène : belle mais fatale. Elle fait partie du trio des femmes terribles dans la lignée de Mme de Barry et de Jeanne de la Motte.
Une femme sans morale
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Une femme matérialiste
Froide et insensible à la douleur de sa fille, Charlotte, 11 ans qu'elle veut marier à un vieux barbon libidineux, le fameux Duc, elle ne comprendra jamais l'acte de Charlotte qui se suicida. Quelle imbécile ! elle qui aurait pu devenir Duchesse et être riche !
Une femme qui a le (drôle) sens de la famille
Lorsque Charlotte meurt, Mme de Polignac semble effondrée. Mais, quels sont l'une de ses 1eres pensées? "C'était un accident!" et oui, le suicide est interdit par la loi et par la religion. Quelle tache pour la réputation des Polignac ! Elle n'a pas prononcé ses mots pour assurer à Charlotte un enterrement décent, non mais bien par souci d'apparence.